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Politics : America Under Siege: The End of Innocence

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To: Teresa Lo who started this subject10/31/2001 12:42:09 PM
From: CountofMoneyCristo  Read Replies (1) of 27666
 
<font color=red>SHOCKING STORY

Heads are going to roll at CIA and FBI:

lefigaro.fr

La CIA aurait rencontré Ben Laden en juillet

This is from the Paris newspaper Le Figaro, a famous mainstream publication in France. It might be compared to The New York Times here in the U.S., in its significance to the French Republic.

I'll translate from the French some of the more striking passages of the article here:

The CIA Met bin Laden in July

The article states that Public Enemy Number One, Osama bin Laden, having departed Quetta, Afghanistan, checked into the American Hospital in Abu Dhabi, Dubai, one of the seven United Arab Emirates, on July 4 of this year, where he was treated for 10 days. He was apparently accompanied by his top lieutenant and doctor, the Egyptian Ayman al-Zawahiri, and four bodyguards. He was admitted into a VIP suite in the prominent Department of Urology of Dr. Terry Callaway, specialist of urinary tract infections and impotence. Callaway refused to speak to Le Figaro.

Apparently in March 2000 bin Laden sought specialist treatment for a kidney infection, and was forced into dialysis. He left his Kandahar headquarters for "specialist treatment" then, and also on numerous other occasions between 1996 and 1998 - all in Dubai.

On Sept. 27, in response to American demands, the U.A.E. froze accounts and investments of 26 people connected to Al Quaeda. Notable among them: the Dubai Islamic Bank.

The bin Laden family is not so estranged from the Saudi Royal Family as many would have one believe. One Saudi Prince for many years regularly partook in hunts on the estates of bin Laden in Afghanistan. Pakistan Airlines and Emirates Airlines frequently flew between Dubai and Quetta, assuring transportation. These and also private Saudi flights were not registered in the records of Dubai's airport.

During his hospitalization, bin Laden received many members of his family, prominent Saudis and Emirs. In the course of this stay, he also received the local representative of the CIA, whom many people know in Dubai. he was seen ascending the hospital's main elevator towards bin Laden's suite.

A few days later, the CIA man informed several friends that he had recently met with a Saudi billionaire. According to authoritative sources, he was recalled by Langley July 15, the day after bin Laden's departure from the American Hospital in Dubai.

At the end of July, Dubai customs officials arrested the Islamic activist Djamel Beghal at Dubai Airport. At the beginning of August, French and American authorities were alerted. Local officials interrogated him. Beghal recounted his trip to Afghanistan at the end of last year, where he was met by the high-ranking Al Quaeda operative, Abou Zoubeida. Beghal's mission: fry the United States Ambassador, avenue Gabriel, next to Place de la Concorde, upon his return to France.

According to various Arab diplomatic sources and the French news services themselves, precise intelligence was handed to the CIA concerning terrorist attacks against American interests around the world, including attacks on U.S. soil.

A report by the DST (the French counterpart to MI5 or the FBI), dated Sept. 7, assembled the complete story of all the clues deriving from Afghanistan.

In August, an urgent meeting was held at the American Embassy in Paris. Present were the DGSE (French CIA) and the highest officials at the embassy. Extremely concerned, the latter asked exacting questions of their French counterparts concerning Algerian activists, without explaining in any way where this was leading. To the question, "Do you fear the days that come," the Americans displayed a silence scarcely comprehensible.

The contacts between bin Laden and CIA go back to 1979. bin Laden was supported then by CIA because, representing his family in Istanbul, he began to recruit volunteers from the Arab-Islamic world for the Afghan Resistance against the Red Army. During their investigation into the 1998 embassy bombings in Kenya and Tanzania, the FBI discovered and tracked a vast militant organization comprised of former Afghan resistance fighters who fought alongside Osama bin Laden.

In the course of its investigation, the FBI discovered film the CIA had developed of its "Islmaic friends" years ago. The recent Dubai meeting was nothing more than the logic next step of a "certain American politic."

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La CIA aurait rencontré Ben Laden en juillet

L'ennemi public numéro un aurait été soigné dans l'hôpital américain de Dubaï au début de l'été pour de graves insuffisances rénales. Durant son séjour de 15 jours, le milliardaire saoudien aurait reçu la visite d'un représentant local de la CIA. Cet agent aurait même été informé sur d'éventuels attentats.

Alexandra Richard
Publié le 31 octobre 2001, page 2

Dubaï, l'un des sept émirats de la fédération des Emirats arabes unis, au nord-est d'Abu Dhabi. Cette ville de 350 000 habitants a été le théâtre discret d'une rencontre secrète entre Oussama ben Laden et le représentant de la CIA sur place, en juillet. Un homme, partenaire professionnel de la direction administrative de l'hôpital américain de Dubaï, affirme que l'ennemi public numéro un a séjourné dans cet établissement hospitalier du 4 au 14 juillet.

En provenance de l'aéroport de Quetta au Pakistan, Oussama ben Laden a été transféré dès son arrivée à Dubaï Airport. Accompagné de son médecin personnel et fidèle lieutenant, qui pourrait être l'Égyptien Ayman al-Zawahari - sur ce point les témoignages ne sont pas formels -, de quatre gardes du corps, ainsi que d'un infirmier algérien, Ben Laden a été admis à l'hôpital américain, un bâtiment de verre et de marbre situé entre Al-Garhoud Bridge et Al-Maktoum Bridge.

Chaque étage comporte deux suites «VIP» et une quinzaine de chambres. Le milliardaire saoudien a été admis dans le très réputé département d'urologie du docteur Terry Callaway, spécialiste des calculs rénaux et de l'infertilité masculine. Joint par téléphone à de multiples reprises, le docteur Callaway n'a pas souhaité répondre à nos questions.

En mars 2000 déjà, l'hebdomadaire Asia Week publié à Hongkong s'inquiétait de la santé de Ben Laden, faisant état d'un grave problème physique précisant que ses jours étaient en danger à cause d'une «infection rénale qui se propage au foie et nécessite des soins spécialisés». Selon des sources autorisées, Ben Laden se serait fait livrer dans son repaire afghan de Kandahar l'ensemble d'un matériel mobile de dialyse au cours du premier semestre 2000. Selon nos sources, le «déplacement pour raison de santé de Ben Laden» n'est pas le premier. Entre 1996 et 1998, Oussama ben Laden s'est rendu plusieurs fois à Dubaï pour ses affaires.

Le 27 septembre, quinze jours après les attentats du World Trade Center, sur demande américaine, la Banque centrale des Emirats arabes unis a annoncé avoir ordonné le gel des comptes et des investissements de 26 personnes ou organisations soupçonnées d'entretenir des contacts avec l'organisation de Ben Laden, notamment auprès de la Dubaï Islamic Bank.

«Les rapports entre l'Emirat et l'Arabie Saoudite ont toujours été très étroits, expliquent nos sources, les princes des familles régnantes qui avaient reconnu le régime des talibans se rendaient souvent en Afghanistan. Un des princes d'une famille régnante participait régulièrement à des chasses sur les terres de Ben Laden qu'il connaissait et fréquentait depuis de nombreuses années.» Une liaison aérienne entre Dubaï et Quetta est d'ailleurs quotidiennement assurée par les compagnies Pakistan Airlines et Emirates. Quant aux avions privés émiratis ou saoudiens, ils desservent fréquemment Quetta où ils ne sont la plupart du temps ni enregistré ni consigné dans les registres de l'aéroport.

Durant son hospitalisation, Oussama ben Laden a reçu la visite de plusieurs membres de sa famille, de personnalités saoudiennes et émiraties. Au cours de ce même séjour, le représentant local de la CIA, que beaucoup de gens connaissent à Dubaï, a été vu empruntant l'ascenseur principal de l'hôpital pour se rendre dans la chambre d'Oussama ben Laden.

Quelques jours plus tard, l'homme de la CIA se vante devant quelques amis d'avoir rendu visite au milliardaire saoudien. De sources autorisées, l'agent de la CIA a été rappelé par sa centrale le 15 juillet, au lendemain du départ de Ben Laden pour Quetta.

A la fin juillet, les douaniers émiratis arrêtent à l'aéroport de Dubaï un activiste islamiste franco-algérien, Djamel Beghal. Début août, les autorités françaises et américaines sont alertées. Interrogé par les autorités locales à Abu Dhabi, Beghal raconte qu'il a été convoqué en Afghanistan fin 2000 par Abou Zoubeida - un responsable militaire de l'organisation de Ben Laden, Al Quaida. La mission de Beghal: faire sauter l'ambassade des Etats-Unis, avenue Gabriel, près de la place de la Concorde, à son retour en France.

Selon différentes sources diplomatiques arabes et les services de renseignements français eux-mêmes, des informations très précises ont été communiquées à la CIA concernant des attaques terroristes visant les intérêts américains dans le monde, y compris sur le territoire de l'Union.
Un rapport de la DST daté du 7 septembre rassemble la totalité de ces données, précisant que l'ordre d'agir devait venir d'Afghanistan.

En août, à l'ambassade des Etats-Unis à Paris, une réunion d'urgence est convoquée avec la DGSE et les plus hauts responsables des services américains. Extrêmement inquiets, ces derniers présentent à leurs homologues français des demandes de renseignements très précises concernant des activistes algériens, sans toutefois s'expliquer sur le sens général de leur démarche. A la question «que craignez-vous dans les jours qui viennent?», les Américains opposent un mutisme difficilement compréhensible.

Les contacts entre la CIA et Ben Laden remontent à 1979 lorsque, représentant de la société familiale à Istanbul, il commença à enrôler des volontaires du monde arabo-musulman pour la résistance afghane contre l'Armée rouge. Enquêtant sur les attentats d'août 1998 contre les ambassades américaines de Nairobi (Kenya) et de Dares-Salaam (Tanzanie), les enquêteurs du FBI ont découvert que les traces laissées par les charges proviennent d'un explosif militaire de l'armée américaine et que cet explosif a été livré trois ans auparavant à des Afghans arabes, les fameuses brigades internationales de volontaires, engagés au côté d'Oussama ben Laden durant la guerre d'Afghanistan contre l'armée soviétique.

Poursuivant ses investigations, le FBI découvre des «montages» que la CIA avait développés avec ses «amis islamistes» depuis des années. La rencontre de Dubaï ne serait donc que la suite logique d'une «certaine politique américaine».
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